Se basant sur le droit de réponse applicable dans la presse, le Directeur général adjoint de l’ANAC Congo, M. Marcellus Boniface Bongho, publie le rectificatif suivant pour remettre les pendules à l’heure.
Les articles de ces deux organes de presse (http://adiac-congo.com/content/aviation-civile-brazzaville-pourrait-abriter-le-siege-de-lacademie-sous-regionale-81729 et http://www.lenouveaugabon.com/transports/0904-13362-le-choix-du-siege-de-la-future-academie-sous-regionale-de-l-aviation-civile-sera-decide-en-juin-prochain-a-libreville-par-les-chefs-de-la-ceeac) appellent de notre part deux observations :
– ils mettent en avant d’éventuelles contradictions, voir un manque de consensus qui aurait conduit, à défaut, à renvoyer, le choix du pays de siège, à la sanction de la conférence des chefs d’Etats de Libreville. Alors qu’il s’agit simplement et de façon régulière de l’observation de la procédure de décision des instances de la CEEAC.
– ils parlent de candidatures des autres Etats à savoir, le Cameroun, la RDC, la Guinée Equatoriale qui auraient eux aussi manifesté la volonté d’abriter le siège de l’académie. En réalité, il n’y a pas eu de candidature de ces Etats, mais plutôt que les Etats cités y compris le Congo ont été désignés éligibles à travers les critères définis dans l’étude de faisabilité du consultant.
Ces faits constituent pour nous une manière pure et simple de ces médias à désinformer l’opinion sur le compromis des ministres de la communauté qui a été manifesté sur le communiqué final qui a sanctionné les travaux dudit comité des ministres.
Je sollicite ces médias à s’y conformer.